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Un mois, 6 mois, un an :
quand le Dry January devient un mode de vie

Saviez-vous que la génération Y compte 20 % de “sobers”, ces personnes qui ne boivent pas d’alcool ? Pour ma part, cela fait déjà un an que j’ai arrêté l’alcool, depuis mon premier Dry January, et cette décision s’est totalement intégrée à mon quotidien.

Je suis devenue une vraie pro des cocktails sans alcool maison et une experte en organisation d’événements sobres ! D’ailleurs, mon entourage s’est aussi laissé tenter par l’expérience et plusieurs de mes proches ont considérablement diminué leur consommation d'alcool.

Le Dry January : une tendance qui monte

Qui n’a jamais entendu parler de ce mouvement sobre qui prône la consommation raisonnée d’alcool ? L’objectif du Dry January, c'est d'arrêter complètement sa consommation d’alcool pendant un mois entier (oui, les 31 jours). L’occasion de s’essayer au style de vie sans alcool !

Le mois sans alcool peut d’ailleurs très vite s’allonger et se transformer en une année entière sans alcool (j’en suis la preuve). Autre challenge sans alcool très suivi, le Sober October, dont l’objectif est le même : diminuer ou arrêter sa consommation d’alcool tout au long du mois d’octobre.

Ces défis témoignent d’une prise de conscience croissante sur le besoin de repenser sa relation avec l’alcool et sa consommation. L’idée ? Boire moins mais mieux.

L’idée du Dry January te tente ? Si tu veux en apprendre davantage, je te conseille de jeter un œil à mon article sur mon premier sober challenge : j’y raconte mon expérience en détail et je donne quelques conseils pratiques à celles et ceux qui voudraient se lancer !

Diminuer ou arrêter de boire de l’alcool : les bénéfices sur le long terme

À la suite du Dry January, j’ai continué à diminuer ma consommation d’alcool en troquant mon verre de vin blanc contre de délicieuses alternatives d’Artigny, comme un pétillant sans alcool à la pêche ou au cassis. Au bout d’un mois de sobriété, j’avais déjà commencé à ressentir de nombreux bienfaits sur mon corps et mon mental. Et plus le temps passe, plus cette décision de vivre sans alcool s’impose à moi comme une évidence.

À titre d’exemple, je me sens mieux dans ma peau, mon teint est moins terne et mes cheveux sont soyeux sans routine beauté particulière. Je suis ravie !

De plus, au cours des derniers mois, mes efforts pour perdre quelques kilos ont enfin porté leurs fruits. Des petits plus qui m'encouragent vivement à poursuivre ma vie sobre.

De plus en plus de sober curious

On s’imagine souvent que la réduction ou l’arrêt de l’alcool concerne plutôt les femmes entre 30 et 40 ans, qui entament cette démarche pour se sentir mieux dans leur tête et dans leur corps, ou lors d’une grossesse.

C’est faux ! D’autres profils, aux âges et aux motivations différentes, se laissent tenter par la sober life. Madeleine et Paul, deux de mes proches, m’ont parlé de leur expérience respective.

Les seniors, gardez la forme en limitant l’alcool

Les problèmes de santé concernent de plus en plus de personnes avec l’âge. De nombreuses personnes âgées arrêtent l’alcool sur recommandation de leur médecin. C’est le cas de Madeleine, ma voisine de 70 ans, qui s’est essayée au Dry January il y a quelques mois, dans le but de retrouver une vie plus saine. 

“L’année dernière, mon petit-fils m’a parlé de la tendance du mois sobre et m’a conseillé de tenter l’aventure. C’est vrai qu’avec l’âge, je supporte moins bien l’alcool et je fatigue plus rapidement. J’ai donc suivi ses conseils et arrêté l’alcool pendant un mois entier.”.

Verdict ? J’ai l’impression d’avoir retrouvé une certaine vitalité, comme si j’avais rajeuni de quelques années. Je tente désormais de convaincre mon mari d’essayer à son tour. Il a déjà goûté la Cuvée Prestige d’Artigny à l’occasion d’un Noël en famille, et cette boisson sans alcool semblable au champagne lui avait beaucoup plu. 

Je suis heureuse d’avoir tenté l’expérience, même si je m’autorise un petit verre d’alcool de temps en temps, pour les grandes occasions.

Les sportifs, évitez la perte d’énergie liée à la consommation d’alcool

Sport et alcool, une association qui fait débat. Certains pensent qu’elle n’affecte pas les performances, d’autres, au contraire, soutiennent qu’elle peut avoir un effet négatif sur le tonus d’un sportif. Paul, le compagnon d’une de mes amies et tennisman de haut niveau, a fait le choix d’arrêter totalement l’alcool.

“Je suis un sportif sobre depuis le début de ma carrière. En effet, j’ai commencé le sport très tôt et, dès l’adolescence, je me suis rendu compte que la rigueur et la fréquence de mes entraînements n’étaient pas compatibles avec les sorties alcoolisées.

Je me souviens de quelques matchs joués après une soirée arrosée, et j’avais été particulièrement mauvais sur le terrain. Cela m’a poussé à arrêter l’alcool, décision que je ne regrette pas, 15 ans plus tard. Les cocktails sans alcool me suffisent amplement pour m’amuser et passer de bons moments avec mes proches”.

 

Peu importe votre âge, votre profession ou votre style de vie, si le défi du Dry January vous tente, foncez !