DRY JANUARY OU SOBER OCTOBER :
JE ME LANCE LE DÉFI D'ARRÊTER
DE BOIRE DE L'ALCOOL PENDANT UN MOIS
DE BOIRE DE L'ALCOOL PENDANT UN MOIS
Depuis quelques années, j'entends parler du Dry January et Sober October dans la presse. Certaines de mes amies s'y sont même essayées, avec plus ou moins de succès. Après les confinements successifs, je ne me sentais pas au top de ma forme : manque de sport, mauvais sommeil, mine terne... Bref, niveau hygiène de vie, on repassera. J’ai décidé de prendre les choses en main à l'arrivée du printemps. Mon programme hebdomadaire ? 30 minutes de pilates par jour, des balades en plein air plusieurs fois par semaine, des produits frais (beaucoup, beaucoup de légumes !) mais aussi une grande décision : arrêter l'alcool pendant un mois.
POURQUOI CETTE DÉCISION
D’ARRÊTER DE BOIRE PENDANT UN MOIS ?
D’ARRÊTER DE BOIRE PENDANT UN MOIS ?
Je tiens à le dire d’emblée : je n’ai jamais été une très grande buveuse. Comme beaucoup de gens de mon âge, j’ai l’alcool social. J’aime boire un petit verre de vin lors d’un afterwork, d’un pot de départ, des traditionnelles retrouvailles du vendredi soir avec mes copines, lors des repas de famille…Bref, ma consommation d’alcool a toujours été, je le crois, raisonnable et occasionnelle.
Si j’ai pris cette décision, c’est avant tout pour l’expérience : partout en Europe, les initiatives se multiplient pour encourager les gens à se passer d’alcool sur une durée limitée. En Grande Bretagne, Sober October et Dry January font chaque année de plus en plus d’adeptes, et on trouve même des sober parties en Scandinavie ! Disclaimer : je n’ai jamais assisté à ces sober parties qui commencent à 15 heures, j’ai juste vu passer les vidéos sur Instagram. Mais ça me tenterait bien d’essayer de me déhancher un samedi après-midi, après tout il n’y pas d’heure pour profiter !
30 JOURS SANS ALCOOL :
QUELLES SONT MES ATTENTES ?
QUELLES SONT MES ATTENTES ?
Comme je vous le disais plus haut, cette petite pause sans alcool fait partie d’une démarche plus globale avec une remise au sport (c’est pas trop tôt 👀) et une alimentation plus équilibrée. Ce que je recherche avant tout, c’est me sentir bien au quotidien, que ce soit au travail ou à la maison.
Ces derniers temps - et avec les confinements à répétition - j’ai perdu en motivation… J’espère qu’en mettant en place ce programme, je retrouverai ma pêche légendaire. Mais, j’ai quand même l’intention de continuer à profiter de mes petits carrés de chocolat à l’heure du goûter et de mon apéro-charcuterie du week-end. Cela m’amène à mon prochain questionnement...
COMMENT RÉSISTER
AU PETIT VERRE DU VENDREDI SOIR ?
AU PETIT VERRE DU VENDREDI SOIR ?
Ce mois sans alcool est un choix que je ne regrette pas du tout. Attablée avec les copines en terrasse, après une semaine de travail bien crevante, je n’ai souvent qu’une seule envie, celle de me détendre avec un bon verre rafraîchissant. Mon verre de limonade ou mon cocktail sans alcool remplacent alors à la perfection un verre de vin. Et je ne compte pas faire une croix sur ces réunions hebdomadaires, question de survie !
Alors… qu’est ce qu’on fait pour concilier arrêt de l’alcool et vie sociale ? On passe aux cocktails et aux vins sans alcool. Depuis quelque temps, j’ai remarqué que l’offre se diversifie de plus en plus et qu’on peut toujours trouver notre cocktail ou notre boisson préférée en version non alcoolisée. Du coup, j’ai un plan d’attaque. Au bar ou à la maison, je déguste un verre de Grand Classic d’Artigny sans aucun regret.
Avec les bulles sans alcool d’Artigny, je n’ai plus d’excuse pour ne pas tenir mon objectif !
A très vite 😘
Juliette